(GROUPES)

DESCRIPTION DES GROUPES

(LES FONDATEURS)

Il existe quatre noms qui, dans l’Histoire de la sorcellerie, figurent parmi les plus illustres et les plus respectés : Rowena Serdaigle, Godric Gryffondor, Helga Poufsouffle et Salazar Serpentard. Tous partageaient le même rêve, le même fol espoir de voir un jour naître et prospérer une véritable communauté de sorciers, à l’abri des dangers et des persécutions moldues. C’est pourquoi ils parcoururent ensemble ou séparément les terres d’Ecosse et d’Angleterre pour secourir et recueillir tout sorcier ou sorcière aux dons jugés exceptionnels, capables de faire advenir une telle communauté. Ils sont appelés les Fondateurs, mais aussi nobles que soient leur projet pour cette grande école (dont l’étrange trouvaille que constitue le nom est attribué à Rowena), ils doivent tout de même faire face aux ambitions les plus dévorantes de leurs amis sorciers, et au fanatisme moldu qui gangrène les campagnes. (ce groupe est fermé aux personnages inventés)

(LES SORCIERS ET SORCIERES)

Crier sur tous les toits que l'on est un sorcier ou une sorcière n'est de nos jours, pas la meilleure stratégie à adopter si l'on souhaite rester en vie. Si certaines familles prestigieuses peuvent assurer leur protection face au fanatisme chrétien qui s'empare des paroisses, les autres sorciers et sorcières sont bien souvent livrés à eux-mêmes, contraints de se cacher et de se couper du monde, s'ils ne veulent pas finir sur le bûcher sans autre forme de procès ou ne pas faire de mal à leurs proches. La magie est alors perçue comme un don ou comme une malédiction, comme un jardin que l'on doit entretenir ou comme une mauvaise herbe qui ne cesserait de repousser même une fois les racines arrachées. Refouler sa magie n'est pas sans conséquences, et c'est ce qui nous permet de conclure qu'il est dur, en notre temps, d'être sorcier. (ce groupe est ouvert)

(LES MOLDUS)

Il faut bien sûr de tout pour faire un monde, y compris des gens parfaitement ordinaires, des personnes normales qui labourent les champs, travaillent le bois, la pierre, le fer, sans autre instrument que leurs propres mains ; qui se battent pour la protection du royaume ; qui guident et instruisent... Ces individus ne disposent d’aucune forme de magie que ce soit, si bien que dans un élan moqueur, les sorciers les plus au faîte du monde magique, ont tendance à les nommer les « moldus ». Ne vous méprenez pas un seul instant sur la faiblesse présumée de ces derniers ! S’ils ne peuvent pratiquer les arcanes, ils ne peuvent pas les tolérer non plus : le fanatisme constitue leur arme principale contre ces créatures du Diable qui gangrènent leurs terres. La peur, l’ignorance, la jalousie érigent alors d’innombrables bûchers dans les villes et villages pour purger le monde des sorciers et des sorcières, considérées comme des erreurs prométhéennes, une insulte au Seigneur et la pire forme du Mal qui soit. D’autres sont bien sûr moins belliqueux, et s’activent pour protéger les membres de leurs familles atteints de cette étrange maladie, ou simplement appartenir un petit peu à ce nouveau monde si fascinant. (ce groupe est ouvert)